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Sacha Distel

Sacha Distel

Date de naissance 29.1.1933 à Paris, Île-de-France, France

Date de décès 22.7.2004 à Rayol-Canadel-sur-Mer, Provence-Alpes-Côte d'Azur, France

Sacha Distel

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Alexandre Distel dit Sacha Distel, est un guitariste de jazz, compositeur et chanteur français, né à Paris (13e arrondissement) le 29 janvier 1933 et mort au Rayol-Canadel-sur-Mer le 22 juillet 2004.

Biographie

Origines

D'origine juive russe par son père, Lionya (Léonide) Distel (1894-1970) né à Odessa[1], chimiste, émigré à Paris après la révolution de 1917[2], Sacha Distel est aussi le neveu de Ray Ventura par sa mère, Andrée Ventura (1902-1965), pianiste ancienne lauréate du Conservatoire[2].

Sous l'Occupation, la police française arrête sa mère le 7 février 1942[3]. Il est caché comme treize autres enfants juifs par Constant Domaigné au collège de l'Immaculée-Conception de Laval. Il y est enregistré sous le nom d’Alexandre Ditel, afin d'éviter la curiosité des militaires allemands présents dans les locaux du collège. Il avait comme correspondante Fernande Chaboche à La Baconnière, employée de maison chez les Distel : c’est à elle que fut confié l’enfant, par ses parents, en février 1943. Il reste au collège jusqu'à la Libération de Laval en août 1944[4] et retrouve sa mère après la guerre.

Grâce à son oncle Ray Ventura, Sacha Distel s’intéresse progressivement au jazz. Il assiste aux diverses répétitions et enregistrements de l'orchestre de son mentor, Les Collégiens. C’est avec Henri Salvador, guitariste des Collégiens, que le musicien prend définitivement le pas sur le lycéen. Il devient progressivement un élève de ce dernier[5] tout en jouant dans les Noise Makers[6], un orchestre de son lycée du 16e arrondissement de Paris (lycée Claude-Bernard)[7], aux sonorités jazz Nouvelle-Orléans.

Ray Ventura, qui a eu vent de la chose, propose au jeune Sacha de venir à une soirée à l’Alhambra l’hiver de 1948. Dizzy Gillespie y joue avec son orchestre. Entouré par Bruno Coquatrix, Paul Misraki, et André Hornez, Sacha découvre le bebop. Dans la salle, c'est une bataille d'Hernani[3].

Débuts comme guitariste de jazz

Dès le lendemain, il tente le tout pour le tout, en essayant de rallier les Noise Makers à sa nouvelle passion. Cette tentative scelle la fin de l’orchestre et donne naissance à deux groupes concurrents : les Irréductibles du New Orleans de Guy Wormser et les Aficionados du cool jazz et du be-bop menés par Sacha. C’est en rencontrant Hubert Damisch, un saxophoniste et un fan de cool jazz (devenu depuis un historien de l'art), que Sacha monte le groupe qui lui permet d’entrer dans la cour des grands. Avec l’aide de Jean-Marie Ingrand (bassiste), Mimi Perrin (pianiste) et Jean-Louis Viale (batterie), ils décrochent à la Nuit Du Jazz du Coliséum le prix du meilleur petit orchestre moderne[3] (Hubert et Sacha récoltant, quant à eux, des prix en tant que sax-ténor et guitariste). Le Café restaurant Sully d’Auteuil les engage pour jouer tous les samedis après-midi, Jean-Louis Durand lui propose de l’accompagner pour une tournée en Bretagne. C’est le début de la carrière de musicien de Sacha Distel qui commence alors, le Bac en poche, l’année d’après. Il a 19 ans lorsque Ray Ventura l'expédie à New York pour y apprendre l'anglais et le métier d'éditeur.

À son retour, il commence par être guitariste de jazz dans les boîtes de Saint-Germain-des-Prés. En 1955, il enregistre avec Lionel Hampton l'album French New Sound et avec le Modern Jazz Quartet Afternoon in Paris[3],[note 1]. En 1956, Sacha Distel est considéré comme l'un des meilleurs guitaristes de jazz français[5]. Il joue avec Stéphane Grappelli, Roger Guérin, Maurice Vander, Michel Portal, et bien d'autres. Il accompagne Juliette Gréco, Sarah Vaughan et découvre Frank Sinatra.

Le chanteur et l'homme du show business

Scoubidou et autres succès

Ce travail d'accompagnateur de chanteurs l'encourage à se lancer lui-même dans la chanson. Le titre Scoubidou le lance définitivement en 1959[8]. Ce titre est au départ une pochade introduite dans un récital présenté au Casino d'Alger, en décembre 1958, avec un trio de jazz. Le refrain, « Des pommes, des poires et des scoubidous-bidous », inspiré du scat « shoo-bee-doo-be-doo »[9], devient rapidement populaire[10]. Il sera suivi d'autres succès comme Oh ! Quelle nuit sous forme de fox-trot.

La belle vie

En 1961, une mélodie, Marina (La Belle Vie) qu'il compose à la demande de Roger Vadim pour l'un des sketches du film Les Sept Péchés capitaux rencontre un beau succès[note 2]. Les succès s'enchaînent : Personnalité en 1959, Mon Beau Chapeau en 1960[note 3], puis Quand on s'est connus, puis deux cha-chas bien dansants tels que Monsieur Cannibale et Scandale dans la famille, ainsi que L'Incendie à Rio, chanson humoristique sous forme de samba de carnaval[6].

Après une idylle avec une jeune comédienne, Brigitte Bardot, il épouse en 1963 la skieuse Francine Bréaud avec qui il a deux fils, Laurent en 1964, et Julien en 1967[11].

Couronné en 1959 par le Grand Prix de l'Académie Charles-Cros, il débute à l'écran dans le film Les Mordus de René Jolivet . Pendant le milieu des années 1960 et la période yé-yé en France, Sacha Distel se fait discret sur les scènes hexagonales et se construit avec succès une carrière internationale. Il est très apprécié dans les pays anglo-saxons. Il s'investit également comme animateur à la télévision française[12],[13]. À partir de 1963 (et jusqu'en 1971), il anime des émissions de variétés à la télévision, notamment les Sacha Show de Maritie et Gilbert Carpentier, émission qui avait notamment pour auteurs Serge Gainsbourg et Jean Yanne. Il produit et anime ensuite l'émission La Belle Vie sur TF1, de 1984 à 1985[11].

Dans les années 1970 et 1980, il connaît encore de beaux succès. Il signe pour la distribution chez Disques Carrère en 1975. Ses principaux tubes sont Vite chérie, vite, Toutes les mêmes, Y en a qui font ça, Pour une nuit avec toi, Toute la pluie tombe sur moi, Le Bateau blanc. En Grande-Bretagne, le titre Toute la pluie tombe sur moi (Raindrops keep falling on my head) atteint la 10e place des ventes[14]. Il rechante sur scène avec Ray Ventura Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux, dans les années 1970[15].

Le 28 avril 1985, au volant de sa Porsche 924 Carrera GT, il est victime d'un accident de la route, sur la RN 7 dans la traversée du hameau de Maltaverne (commune de Tracy-sur-Loire, à proximité de Cosne-sur-Loire). Sa passagère, la comédienne Chantal Nobel, alors héroïne du feuilleton télé Châteauvallon, est grièvement blessée, et restera handicapée à vie. Sacha Distel, légèrement blessé à la tête, est condamné à un mois de prison avec sursis, pour blessures involontaires[16].

En décembre 1988, il présente en direct sur FR3, l'élection de Miss France 1989[17]

Reprise des succès de Ray Ventura

Revenant à nouveau aux succès de Ray Ventura, Sacha Distel enregistre en 1993, à l'instar du Grand Orchestre du Splendid en 1977, un disque complet des reprises des chansons de son oncle, avec la participation d'Henri Salvador, Paul Misraki, Salvatore Adamo, Michel Fugain, Philippe Lavil, Guy Marchand, Francis Perrin, Claude Brasseur, Jean-Pierre Foucault, Michel Legrand, Gérard Holtz, Michel Drucker, Enrico Macias, Christian Morin, Popeck, Jean-Pierre Cassel, Darry Cowl, Jacques Martin, Carlos, Sim et Stéphane Grapelli[18].

Il tient le rôle principal dans la comédie musicale Chicago à Londres en 2001. En 2003, il tente un autre retour dans la chanson française avec un double CD, En vers et contre vous, recueil de mélodies jazzy associant de nouvelles compositions et des reprises de standards[19]. Sans grand succès[13].

Mort

Sacha Distel meurt le 22 juillet 2004, à 71 ans, des suites d'un cancer[13]. Il avait survécu précédemment à un cancer de la peau (mélanome) et un cancer de la glande thyroïde[20]. Il repose dans la crypte familiale de la propriété de ses beaux-parents au Rayol-Canadel.

Hommages et références

Sacha Distel et Henri Salvador sont les deux seuls chanteurs de variété française à figurer dans le Dictionnaire du Jazz[21], chacun ayant bien connu Ray Ventura, Sacha Distel étant son neveu et Henri Salvador chanteur à ses débuts dans son orchestre.

En janvier 2017 a lieu au Palais des sports la première de Hit Parade, comédie musicale rendant hommage aux titres de Claude François, Dalida, Mike Brant et Sacha Distel.

Référence littéraire

« Je me souviens de l'époque où Sacha Distel était guitariste de jazz. »

— Je me souviens, 43, Georges Perec

Discographie jazz

Enregistrements :

  • Night in Tunisia (avec Jaspar, 1955)
  • Crazy Rhythm (avec Lionel Hampton, 1955)
  • Bags' Groove (avec John Lewis, 1956)
  • Two Guitar Blues (avec Jean-Pierre Sasson, 1956)
  • Sacha Distel: Jazz d'aujourd'hui (avec Billy Byers, 1956)
  • Olympia Orgy
  • On serait des chats
  • Round about Midnight
  • N° 1 for Sacha
  • Thanks Bill
  • Avec ces yeux-là
  • A piece of pizza
  • Blues for Tiny
  • Bobby Jaspar & Sacha Distel quintette (1957)
  • Scotch Bop
  • Everything happens to me
  • Competition
  • Sacha, Bill et Bobby
  • No Sad Song for Sacha
  • Stop and Go
  • Hubert Fol & Sacha Distel Quintette : Jazz Boom (1954)
  • Half Nelson
  • I'll Remember April
  • Sacha Distel : Les 7 Péchés capitaux / L'orgueil (1961)
  • Marina
  • Blue waltz de l'orgueil
  • Sacha Distel: Back to jazz with Slide Hampton (1968)
  • Felicidade
  • The Good Life
  • The Girl from Ipanema
  • Francine
  • Bird
  • Living room
  • Who can tell me why?
  • Saki
  • My Own Blues (1983)
  • Jazz sur la Croisette (compilation avec Sacha Distel lors du Jazz festival de Cannes en 1958) - (INA Mémoire vive / Abeille Musique)

Quelques-unes de ses chansons à succès

  • Scoubidou (des pommes, des poires...) (1959)
  • Oh ! Quelle nuit
  • La Belle Vie (aussi connue sous le titre anglais The Good Life) (1963)
  • Ces mots stupides (1965) (en duo avec Joanna Shimkus)
  • Scandale dans la famille (1965)
  • La Petite Puce (mai 1966)
  • Les Perroquets (mai 1966)
  • L'Incendie à Rio (octobre 1966)
  • Rebecca et moi (octobre 1966)
  • Y en a qui font ça (octobre 1966)
  • Monsieur Cannibale (1966)
  • Elles sont futées (1966)
  • La pétanque (1969)
  • Toute la pluie tombe sur moi (1970)
  • Ma première guitare (1972)
  • Le Soleil de ma vie (en duo avec Brigitte Bardot) (1973)
  • La vieille dame (1974)
  • Pour une nuit avec toi (1975)
  • Toutes les mêmes (1976)
  • Le père de Sylvia (1977)
  • Le Bateau blanc (1981)

Singles

  • La Mer (1991)
  • Mesquita (1990)
  • Michael et Raïssa (1989)
  • Jazzy nostalgie (1988)
  • Desperado (1986)
  • Viva les bleus (1986)
  • Jack et Jo (1985)
  • Toi et moi ça ressemble à l'amour (1984)
  • Je t'appelle pour te dire je t’aime (1984)
  • Venise (1983)
  • Parce que je t'aime (1983)
  • Donne-moi la main encore (1982)
  • Ma femme (1982)
  • Toute griffes dehors (1982)
  • Tu es sur ma liste (1981)
  • Scoubidou (1981)
  • On n'est pas des grenouilles (1980)
  • Le Bateau blanc (1980)
  • On ne peut plus se cacher (1979)
  • Une fille beaucoup trop belle (1979)
  • Venus (1978)
  • Forever and Ever (1978)
  • Fou d'amour (1978)
  • La Porte d'en face (1977)
  • Pour une nuit avec toi (1976)
  • Toutes les mêmes (1976)
  • Babystar (1976)
  • Toi et mes vacances (1972)
  • C'est les vacances (1971)
  • Moi j'aime pas ça (1971)
  • Quand il y en a pour deux il y en a pour trois (1970)
  • La Souris et le Rat (1970)
  • Amour perdu (1970)
  • Ça marche (1969)
  • Fi...l...fi c'est fini (1969)
  • Les bateaux s'en vont si loin (1969)
  • La Pétanque (1969)
  • Roméo et Juliette (1968)
  • Allez donc vous faire bronzer (1968)
  • Quel calamidad el amor (1968)
  • Ces mots stupides (1967)
  • Les Moustaches (1967)
  • Sacha show (1966)
  • La Petite Puce (1966)
  • L'Incendie à Rio (1966)
  • Petit oiseau bleu (1965)
  • Chacun garde dans son cœur (1965)
  • Love (1965)
  • Scoubidou (1965)
  • Scandale dans la famille (1965)
  • La Chanson orientale (1964)
  • Je sais que je t'aime (1964)
  • Il tient le monde (1964)
  • C'est pas vrai (1963)
  • La la song (1963)
  • Nous irons à Deauville (1963)
  • Bossa nova (1962)
  • L'Orgueil (1962)
  • J'ai un rendez-vous (1962)
  • Loin de toi (1962)
  • Les Crocodiles (1962)
  • Caterina (1962)
  • Guitare et copains (1962)
  • Le Boogie du bébé (1961)
  • Madam' Madam' (1961)
  • Samedi soir (1961)
  • Personnalités (1960)
  • Succès (1960)
  • Mon beau chapeau (1960)
  • Les Mordus (1960)
  • Bye bye baby (1960)
  • Gigi (1959)
  • Sacha Distel à la guitare avec John Lewis (1959)
  • Garde ça pour toi (1959)
  • Scoubidou (1959)
  • Altitude 10.500 (1959)
  • Hommage à Django (1959)
  • Oui oui oui oui (1959)
  • Brigitte (1958)
  • Sacha Distel chante (1957)

Filmographie

En plus de cinquante ans de carrière, quelques films et des dizaines de shows télévisés.

  • 1953 : Femmes de Paris de Jean Boyer (apparition, membre de l'orchestre de Ray Ventura)
  • 1960 : Les Mordus de René Jolivet.
  • 1960 : Zazie dans le métro de Louis Malle (apparition au sortir d'une colonne Morris)
  • 1962 : Les Sept Péchés capitaux de Claude Chabrol
  • 1962 : Nous irons à Deauville de Francis Rigaud
  • 1964 : La Bonne Soupe de Robert Thomas
  • 1964 : La Bonne Occase de Michel Drach
  • 1970 : Le Voyou de Claude Lelouch
  • 1971 : Sans mobile apparent de Philippe Labro
  • 1995 : Drôle de Noël pour Jeremy ! de François Hanss
  • 2001 : Absolutely Fabulous de Jennifer Saunders et Dawn French[22]

Autobiographie

  • Sacha Distel, Les pendules à l'heure, Paris, M. Lafon, 365 p. (OCLC 1771-1474)

Notes et références

Notes

  1. Le morceau est une référence au Japon. C'est devenu un standard
  2. Anglicisée en The Good Life (paroles de Jack Reardon), la mélodie Marina devient un standard de jazz, interprété par Tony Bennett
  3. Un des exemples de transfert du répertoire anglo-saxon vers le répertoire français : c'est une adaptation du traditionnel gospel When the Saints go Marchin'in

Références

  1. Archives de l'état civil de Paris (13e arrondissement), acte de naissance (copie intégrale).
  2. O'Connor 2004.
  3. Marmande 2004.
  4. Yagil 2010, p. 355.
  5. Loupien 2004.
  6. Lesprit 2004.
  7. François Gibault, Libera Me, tome 2, Gallimard, 2015.
  8. Lachat 2013.
  9. Calvet 2006.
  10. Mortaigne et Siclier 2004.
  11. Le Nouvel Obs 2004.
  12. Fléouter 1966.
  13. Reins 2004.
  14. http://artisteschartsventes.blogspot.fr/2014/11/sacha-distel.html
  15. « Sacha Distel "Qu'est ce qu'on attend pour être heureux" », sur dailymotion.com
  16. Le Monde 1988.
  17. « Comment l’élection de Miss France est devenue un show », sur europe1.fr, 4 décembre 2016
  18. « Sacha DISTEL : découvrez son clip inédit réalisé par Télé Melody », sur melody.tv, 15 juillet 2014
  19. Libé 2004.
  20. Émission de télévision « Vivement Dimanche », 3 février 2013, Hommage à Sacha Distel
  21. Carles, Clergeat et Comolli 1994.
  22. Allociné - [1]

Voir aussi

Bibliographie

Classement par date de parution.

Livres

  • Philippe Carles, André Clergeat et Jean-Louis Comolli, Dictionnaire du Jazz, Paris, Éditions Robert Laffont, coll. « Bouquins », 27 octobre 1994, 1379 p. (ISBN 2221078225)
  • Louis-Jean Calvet, Cent ans de chansons française, Éditions de l'Archipel, 2006, 522 p. (lire en ligne).
  • Limore Yagil, La France terre de refuge et de désobéissance civile (1936-1944), t. I, Éditions du Cerf, 2010, 480 p. (lire en ligne).
  • Rodolphe Lachat, Chronique des années rock'n'roll, Éditions Chronique, 2013, 136 p. (lire en ligne).
  • (de) Michael Fischer et Fernand Hörner, Lied und populäre Kultur - Song and Popular Culture 57 (2012): Jahrbuch des Deutschen Volksliedarchivs Freiburg - 57. Deutsch-französische Musiktransfers - German-French Musical Transfers, Waxmann Verlag, 2013, 600 p. (lire en ligne).

Articles

  • Claude Fléouter, « Sacha Distel à l’Olympia », Le Monde,‎ 1er janvier 1966 (lire en ligne).
  • Rédaction Le Monde, « Sacha Distel condamné à un mois de prison avec sursis », Le Monde,‎ 24 décembre 1988 (lire en ligne).
  • Francis Marmande, « Sacha Distel, le jazz en face B », Le Monde,‎ 22 juillet 2004 (lire en ligne).
  • Bruno Lesprit, « Sacha Distel, c’était la belle vie », Le Monde,‎ 23 juillet 2004 (lire en ligne).
  • Rédaction Libé, « Homme à jam », Libération,‎ 23 juillet 2004 (lire en ligne).
  • Serge Loupien, « Un Sacha sachant jazzer », Libération,‎ 23 juillet 2004 (lire en ligne).
  • (en) Patrick O'Connor, « Sacha Distel. Smooth-voiced entertainer who brought the charm of the chanson from Paris to London », The Guardian,‎ 23 juillet 2004 (lire en ligne).
  • Rédaction Le Nouvel Obs, « Obsèques "dans la plus stricte intimité" pour Distel », Le Nouvel Observateur,‎ 24 juillet 2004 (lire en ligne).
  • Véronique Mortaigne et Sylvain Siclier, « Sacha Distel », Le Monde,‎ 24 juillet 2004 (lire en ligne).
  • (en) Reuters, « Sacha Distel, Entertainer Who Was Awarded Legion of Honor, Dies at 71 », The New York Times,‎ 24 juillet 2004 (lire en ligne)}.
  • Sacha Reins, « Sacha Distel. Adieu, crooner », Le Point,‎ 29 juillet 2004 (lire en ligne).

Liens externes

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